Goodbye 2011 !!

Il fait trop chaud pour travailler !

Enfin 2011 daigne laisser sa place... J'ai passé ces dernières semaines à attendre... attendre patiemment que passe cette année, tout en faisant un brin de ménage, en refermant certaines portes du passé et en me laissant surprendre par l'apparition de nouvelles qui s'ouvrent doucement devant moi. Une fin d'année globalement morne et triste, mais heureusement illuminée de rayons de Soleil qui vinrent me réchauffer.

Un de ces rayons fut l'arrivée sur l'île des cousins Sam et Émeline, en provenance de 3 mois de voyage sur la Grande Ile. Une bouffée d'oxygène et de bonne humeur des plus salvatrice qui est venue me bousculer dans ma paresse et mon laisser aller. Car avec eux, pas le droit de rester à ne rien faire !

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Ballade aux bassins de Saint Paul


Du coup, avec l'arrivée d'invités, je me suis vraiment rendue compte de la nudité de mon appartement... Je m'étais promis pourtant de l'habiller et de le décorer avant la fin d'année, mais, encore une fois, la flemme eut raison de mes bonnes résolutions. J'ai cependant eu un soubresaut d'activité et ai eu le déclic pour les rideaux de mon salon :) ! Je me dis que c'est un bon début et qu'il faut que j'en profite pour m'occuper du reste, car c'est fou comme ça change tout !


Le réveillon de Noël fut excellent et j'étais vraiment heureuse de pouvoir le passer un peu en famille avec les cousins. Nous l'avons fêté chez des amis de la cousine Armelle qui habitent une maison donnant sur la plage de la Saline... le rêve quoi ^^ ! Repas créole, pétards, feux d'artifice, ambiance conviviale, ce fut une super soirée !

Promis, Sam s'est bien tenu ;) si, si !


Ralala les filles qui fument des pétards sur la plage... :D !



Nous avons également lancé des lanternes célestes dans le ciel réunionnais, s'élevant comme autant de prières pour Noël et la nouvelle année qui approche...


A enchainer les repas de fete et de fin d'année au bureau, de petites marches de santé s'imposent ! Quoique pas trop longues ni trop dures, hein, c'est trop fatigant sinon ;o) !

Ballade au bord de la rivière des Roches, avec le bassin la Paix



Sinon Tao est en pleine émancipation... Le félin a des ailes qui lui poussent et désormais il passe son temps à trainer sur le parking, faisant sa loi. De la graine de délinquant !!

Trouvez le chat !

Si, si, il est la !

Ta Daaa !

Bref, bonne année à vous tous, refermons l'année 2011 sans regret et espérons le meilleur pour 2012 !!

Chanter puis mourir... ou l'inverse...

Don't worry, be a cat

Me voici enfin en vacances... Je sors la tête de l'eau après des jours et des semaines de concentration sur plusieurs prestations assez prenantes qui m'ont pompées toute mon énergie. J'ai tenu bon et peux désormais me relâcher l'esprit tranquille, le devoir accompli.

"Lyrissimo" tout d'abord, il y a deux semaines de cela... Un spectacle auquel j'ai pris beaucoup de plaisir à participer, avec une ambiance très sympa et un public qui fut apparemment conquis. Bon, ce malgré des conditions un peu rudes, entre les loges improvisées au milieu des frigo et des pack de bières en arrière salle dans lesquelles il faisait une chaleur torride contrastant dangereusement avec la salle sur climatisée, malgré mes rouspétances à répétition auprès du patron... Pas top pour la voix. Du coup, en mauvaises conditions pour sortir mon Liu, Puccini a du se tortiller dans sa tombe, mais bon... c'est quand même passé en mode freestyle...


Elodie entourée de nos messieurs pour Voi Che Sapete des Noces de Figaro de Mozart


Ma Violette, ma libération, pour Addio Del Passato


Johanna et Elodie dans la Barcarolle des Contes d'Hoffmann d'Offenbach

Lakmé et Malika dans le Duo des Fleurs de Delibes


Carmen de Bizet en final : Toréador, en garde !


Le salut, le soulagement

Nos accompagnatrices au piano

Nous avons pu profiter ensuite du repas ! Enfin... ou pas... les spectacles, ça m'a toujours coupé l'appétit... J'ai donc navigué d'une table à l'autre pour discuter avec les amis présents dans le public, recueillir les impressions, et relâcher la pression.

C'aurait pu finir ainsi... Nous aurions pu en rester là... C'est vrai, ça, c'était ainsi que tout avait été prévu : deux spectacles, un pour le mariage de Claudie et Pascal et un dîner spectacle à la Salla, puis passage à autre chose... C'était sans compter une opportunité, doublée d'une idée saugrenue de Nath : nous refaire monter sur scène dans le cadre de l'anniversaire d'un grand bijoutier de l'île, pour lequel elle avait reçu une commande d'une prestation de chant lyrique. Et elle voulait Elodie et moi pour cela.

Avec ma manie de toujours dire "oui", je me suis ainsi retrouvée emportée par le courant, ballotée entre cours et répétitions nécessaires pour préparer cet évènement... et le corps qui commençait doucement à lâcher ! Faut dire qu'il y avait dans ce projet quelque chose d'ultra stressant, le paraître et le jugement (et le cachet !) prenant le pas sur le plaisir. J'étais à bout de souffle, je me sentais complètement dépassée avec la conviction que Nath surestimait mes capacités. Résultat : une semaine à faire grippe et angines psychologiques :S Pourtant nous avions le meilleur pianiste accompagnateur de toute l'île, mais les répétitions ne donnaient rien de bon pour moi, trop épuisée que j'étais.

Une anecdote au passage : lors de nos répétitions au conservatoire, nous pouvions entendre dans les couloirs de l'établissement d'autres chanteurs répéter, les professionnels de l'Opéra Bastille, venus à l'occasion d'une grande soirée lyrique donnée le 10 novembre... Et ça, je peux vous assurer que ça vous mine un moral en moins de deux !! Entendre derrière le mur des élans de virtuosité et devoir après ça sortir timidement une note... un sentiment vain et las s'emparant tout d'un coup du larynx et étouffant toute prétention technique... bon, je crois que je vais me mettre au macramé, c'est sympa, aussi, le macramé...

Le 11-11-11, jour de pleine Lune, la famille Narsy ne pouvait rêver de meilleur symbole pour célébrer en ce jour le 100ème anniversaire de sa présence en tant que bijoutier dans l'Océan Indien. Immense cocktail, tenues de soirée ultra classe exigée, le gratin et les plus grosses fortunes de l'île étaient de sortie. J'étais sur une autre planète et jamais je ne me suis sentie être autant un alien... Le directeur de la marque MontBlanc France, pour laquelle nous intervenions, nous avait donné ses directives : nous devions être belles et inaccessibles ! Soit... Sans trop de conviction, je tâcherai de m'en souvenir lorsque je m'élancerai sur le tapis rouge, couloir de la mort, vers le public au bout du podium...

J'étais perdue, insensible, désincarnée, mais heureusement fort bien entourée. Si bien qu'au moment de me jeter dans l'arène, j'étais sereine. C'est dingue comment des jours durant je peux me mettre minable en m'infligeant une pression insoutenable pour finalement percer le film aveuglant de l'angoisse et trouver un semblant de paix. Bien obligée, d'un côte... Il faut savoir mourir pour monter ainsi sur scène pour chanter, briser la peur du jugement pour se dévoiler et livrer sans fard ni masque ce qui se cache réellement en nous. Un instant de peur engendre un doute, qui amène l'hésitation, et là c'est foutu... Pas le choix donc... Il faut lâcher prise !

Et tout passe comme dans un rêve... Au réveil, je suis dans les bras de l'un ou de l'autre, je vois des yeux embués d'émotion, j'entends des bravo, et j'ai l'impression que rien ne s'est passé. l'avant, le pendant et l'après sont comme emmêlés. Juste une petite voix dans la tête qui me dit que c'est enfin les vacances... et que je peux me détendre avant de me remettre au travail, car rien n'est terminé, tout le chemin reste à parcourir.

C'était une expérience grisante et hors du commun. Et j'en suis ressortie, m'étant défendue honorablement. Du coup, je m'offre un week end pour moi à me retrouver. J'essaye de faire un point sur tout ce qui s'est passé ce dernier mois, mais tout est si flou... J'ai besoin de lever le pied, cependant, j'ai peur de l'ennui qui va suivre après tant de stimulations et sollicitations (^_^; Comme quoi, jamais satisfaite, la nana !!

Ah tiens, autre anecdote amusante : Patrick Poivre d'Arvor était invité d'honneur de la soirée du 11 novembre, et il a ouvert la soirée par la lecture d'un de ses poêmes... Il est venu féliciter Nath après notre prestation, se disant agréablement surpris de trouver de telles voix sur l'île de la Réunion ! Avoir réussi à toucher un gars comme ça habitué certainement aux meilleurs, c'est pas trop mal... non ?

Les noces australes

Voici un week end bien rempli qui se termine. Je n'ai quasiment pas été chez moi, partie tôt le samedi pour rentrer dans l'après midi du dimanche...

C'était en effet le mariage de Claudie (une amie élève de mon cours de chant) et Pascal, pour lesquels Nath avait créé un spectacle et rassemblé un groupe de chanteuses. Deux mois de répétitions et de travail acharné, et surtout de franche rigolade. Le spectacle reposait sur toutes les anecdotes que nous avions sur le couple, mises en scène de manière décousue et absurde, entrecoupées de chants, parfois assez délirants.

Pour moi, ce n'était pas gagné. Voici déjà un mois que Ludo m'a quittée et j'ai failli abandonner le projet, me sentant incapable d'aller partager la joie d'un mariage. Et de chanter, surtout. Heureusement, Nath m'a un peu bousculée et ce spectacle ainsi que le concert du 28 octobre prochain sont deux projets qui m'ont maintenue à flot en plus de me permettre de rencontrer des gens et de me retrouver régulièrement entourée d'amis qui me soutenaient. Ainsi, dimanche dernier, nous étions partis enterrer la vie de jeune fille de Claudie lors d'un pique nique déjanté aux Makes, dans les hauts de Saint Louis. Punch et téquila ont coulé à flot et j'eus du mal à m'en remettre une fois rentrée chez moi...

Nous étions assez inquiètes quant au spectacle, la générale ne s'étant pas passée au mieux (normal me direz vous, pour une générale...) et tout filage in situ étant impossible. Par ailleurs, le spectacle étant assez... particulier... nous ne savions pas vraiment comme il allait être accueilli par les mariés et leurs invités. Mais l'énergie et l'envie de nous éclater étaient là, si bien que tout s'est passé au mieux, nous laissant à toutes de très bons souvenirs. Pour ma part, j'ai pris beaucoup de plaisir à remonter "sur scène" pour un spectacle entier afin de jouer, de m'oublier, de me dépasser, de goûter le plaisir de se sentir dans l'ici et maintenant et de n'accorder plus aucune importance à tout ce qui ne fait pas vivre l'instant présent. D'offrir de manière entièrement désintéressée ce moment, de partager notre travail, de me donner... Mais ce que j'aime également dans ce genre d'aventures, c'est la cohésion du groupe autour d'une création commune et l'esprit de troupe, où chacun tremble et stresse mais où tous se soutiennent. C'était presque dommage de ne le jouer qu'une seule fois !

Le sourire soulagée d'après représentation, avec ma copine de duo, Fred

Nous avons dormi non loin du lieu de la fête, dans les hauts de Saint Gilles et sommes rentrés juste à temps pour la deuxième mi temps de la finale de la coupe du monde de rugby... et je suis vite rentrée chez moi, épuisée, une fois les Blacks déclarés vainqueurs. Je n'aurais pas eu le courage de fêter une victoire tricolore de toutes façons, bien que je sois déçue pour eux car il le méritait. Il faut dire que ma petite boule de poils préférée me manquait et m'attendait à la maison...

Lyrissimo J-14

Pourquoi suis je à ce point incapable de me poser et dois je toujours répondre présente aux défis qui me sont lancés ? J'aurais aimé passer une semaine calme et reposante, mais voilà, la date approche et le stress monte. Je veux parler de ceci :


Le jour où Élodie, m'ayant entendu travailler Tu che di gel avec Nath en cours, m'a demandé de l'interpréter en me joignant à un petit groupe de chanteurs pour animer un dîner spectacle, où seront joués des airs d'opéra sur le thème de l'amûûûr, je n'ai pas hésité une seule seconde... La seconde d'après j'ai commencé à réaliser que sortir un Puccini, déjà, ce n'était pas évident, mais qu'en plus, cet air de Liu dans Turandot était tout simplement suicidaire (c'est le cas de le dire, en plus, Liu se poignardant juste après dans l'opéra... ça me donne des idées, d'ailleurs, ça...). Alors en plus le chanter en condition de stress maximum... Je dois être masochiste !

De toutes façons, il faut je pense être maso pour faire ainsi du chant : rien de plus angoissant que de monter sur scène et y exp(l)oser son âme... mais quelle extase !

Pourtant, après mon récent choc et changement de vie, j'étais à deux doigts d'annuler ma prestation... En effet, pour ce spectacle dont le thème est l'amour, j'ai hérité des airs dramatiques, car c'est également cela aussi l'amour, à savoir la peine, la douleur, et à l'extrême, la mort. Toutefois, j'ai choisi de le vivre comme une thérapie, et ça me réussit pour le moment pas trop mal...

Voici donc Élodie, que je connais depuis que j'ai commencé à travailler avec Nath. Nous nous étions rencontrées à un concert magique donné à la Chapelle Pointue du domaine de Villèle :

Sa voix m'inspire beaucoup, je la trouve riche en émotions et en vibrations. C'est donc un grand plaisir pour moi d'interpréter le duo des fleurs de Delibes avec elle au cours de la soirée. D'ordinaire, j'aime les duos car c'est plus "reposant" que les solos : il y a l'autre qui rassure, les respirations semblent plus faciles, sa voix est masquée car mélangée, bref, les duos me permettent de me mettre en situation, en contact avec le public et de plus en profiter. Cependant, dans ce cas présent, encore une fois, c'est du suicide. Ca n'a l'air de rien, comme ça, le duo des fleurs... c'est frais, léger, aérien... Et bien non ! Moi, Lakmé, je sens que je vais tomber inanimée dans le champs (vous avez dit chant ?) de pavot avant même d'avoir eu le temps de faire la reprise :'(

Heureusement je vais pouvoir me rattraper sur Addio del passato de la Traviata de Verdi... (non, là encore, c'est du sarcasme, cet air est trop dur... !)

Je travaille sur mon stress en me disant que mes collègues chanteurs rattraperont ma prestation catastrophique (^_^;

Cette aventure m'a en effet permis de rencontrer Johanna, que je connaissais par ailleurs de vue en raison de ses activités de professeur de yoga pas très loin de chez moi :

Par ailleurs, il est toujours intéressant de donner un concert avec des gars ! Je n'ai quasiment jamais l'occasion de croiser des chanteurs, à croire que les hommes ne sont pas aussi enclin à donner de la voix dans le répertoire lyrique. Ayant mis la main sur deux barytons, Richeville (que je connaissais déjà par Nath mais que je croise rarement) et Emmanuel, je compte bien ne pas les lâcher ;o) Malheureusement, il n'y aura cette fois ci aucun duo homme / femme, mais ce n'est que partie remise !

Nous enchaînons donc les répétitions, avec pianistes, entre nous, les cours de chant pris en panique auprès de Nath car rien ne va, les sautes d'humeur... La panique, quoi !

On ne le dirait pas, mais, si, ça panique !

Mais j'ai plus d'un tour dans mon sac : la tenue de soirée ! Car avec la robe dans laquelle j'ai investi (et investi cher !), je compte bien détourner l'attention du public histoire qu'il entende moins mes gamelle à la voix... ou pas... je suis désespérée (T_T)... !

Arrêtez le ventilateur s'il vous plaît ;o) !

Une vie de chat

Et moi alors ?

Tao m'en veut... Depuis plusieurs posts, je ne l'ai que mentionné de manière passagère alors qu'il est un protagoniste important de l'histoire... J'en ai honte, et je propose donc de corriger ma faute...

La vie du chat était belle, douce et tranquille...

Il enchainait les siestes sous la couette et son bol de croquettes ne désemplissait pas...

Cependant, un jour, son humaine devint comme folle et commença à déranger l'ensemble du territoire pour le faire contenir dans des cartons.

Plus question de faire la sieste alors, il fallait trouver un moyen de suivre le mouvement et de ne pas se faire oublier !

Jusque là, encore, c'était plutôt amusant : le chat adorant les cartons, il passait son temps à s'y cacher et à réorganiser à sa façon l'ordre établi par son humaine.

Un jour, d'autres humains sont venus et ont commencé à tout emporter, vidant l'appartement de toutes les possessions du Seigneur Chat. Là... là, c'était la panique ! Un véritable coup d'état ! Une mutinerie ! Le chat s'est donc réfugié pour la journée en territoire allié chez le voisin, mais il fut capturé dans la soirée et arraché à ses terres si durement conquises...

On l'emmena et on l'enferma dans un pays inconnu et hostile.


Il se débattit et miaula fort son mécontentement, puis se tapit sous la couette durant de longues heures pour réfléchir à la situation et préparer sa contre attaque... Tout était à recommencer...

Après deux jours d'intense préparation stratégique, il pris pleinement possession de la chambre à coucher...

La mezzanine de la chambre

Puis il descendit pour explorer le premier étage. Quelle surprise alors, lorsqu'il s’aperçut de la présence d'ennemis insoupçonnés, lui qui ne connaissait que cafards et margouillats...


Vue depuis la fenêtre du bas de la chambre

Il les observe depuis longuement chaque jour, fomentant mille et un plans diaboliques en vue d'en venir à bout...




Tao est très vite devenu adepte de la ballade sur les toits... (^_^; !

Longue et fort instructive fut la traversée du couloir... Les placards offrent de nombreuses possibilités de cachettes, c'est important de bien le noter !

Juré, il monte là haut tout seul... En grimpant étagère par étagère comme une échelle, le dos appuyé sur la porte coulissante... je l'ai vu faire (O_O)

Le couloir aboutit sur la salle de bain... L'humaine ne pourra plus lui interdire l'accès aux toilettes, victoire du chat, hahaha !


Vue depuis la fenêtre de la salle de bain

La descente au salon fut plus délicate, le chat préférant se poster sur les hautes marches de l'escalier de manière à dominer le territoire ennemi pour mieux l'observer... Cependant, il ne pouvait voir ce qui se passait dans la cuisine et cela le mettait dans le désarroi le plus total. Rusant pour provoquer une intervention de son humaine, il fut descendu illico presto suite à un ras le bol de ses couinements incessants et pu ainsi découvrir à loisir le rez de chaussée.

La cuisine offre un poste d'observation très pratique... Mais l'humaine peut toujours courrir pour que le chat fasse un jour la vaisselle !

La terrasse est agréable et est un nid à margouillats...


Ce serait le paradis si l'humaine ne forçait pas le chat à faire la sieste avec elle dans ce maudit hamac !


Ce nouveau territoire promet de grandes possibilités en termes de bêtises et de découvertes... Déjà, hier, Tao a rencontré le chien des voisins : en 30 secondes, il a triplé de volume, passant du chat crevette au chat king size crachant et grognant tout ce qu'il pouvait (^_^; J'ai un peu peur de ce que ça sera lorsqu'il trouvera un des chats des voisins au détour d'une gouttière sur le toit... J'essaye de surveiller au maximum, mais ce n'est pas toujours évident...

Mode camouflage dans les feuillages : on ne me voit plus !

En conclusion : la vie du chat a changé, mais cela semble ravir le chat !

Non mais sérieux, un chat noir sur un toit blanc qui essaye d'attraper des oiseaux, ça a quelque chose de comique, non ? Ou de philosophique, au choix...